Le groupe Volkswagen accélère dans l’électrification de sa gamme avec près de 70 nouveaux modèles électriques au cours des dix prochaines années, au lieu des 50 prévus précédemment, portant ainsi à 22 millions le nombre de véhicules projetés sur des plates-formes électriques.
Volkswagen s’est engagé dans un vaste programme de décarbonisation visant à atteindre un équilibre totalement neutre en CO2 dans tous les domaines, de sa flotte en production, en passant par l’administration, d’ici 2050, en engageant pleinement le Groupe dans les objectifs de l’Accord de Paris en matière de climat.
« Volkswagen assume ses responsabilités vis-à-vis des principales tendances de l’avenir, en particulier en ce qui concerne la protection du climat », a déclaré le Dr Herbert Diess, PDG de Volkswagen AG.
« Les objectifs de l’accord de Paris sont notre critère. Nous alignerons systématiquement la production et les autres étapes de la chaîne de valeur sur la neutralité du CO2 dans les années à venir. C’est ainsi que nous apporterons notre contribution à la limitation du réchauffement climatique. Volkswagen cherche à offrir la mobilité individuelle à des millions de personnes pour les années à venir – une mobilité individuelle plus sûre, plus propre et entièrement connectée. Afin de supporter les investissements nécessaires à l’offensive électrique, nous devons améliorer encore l’efficacité et les performances dans tous les domaines. »
Il serait temps, mais pas que là ! LES OCÉANS à rendre plus PROPRES !
TOUTE LA DÉMESURE DE NOTRE PLANETE VA ÊTRE REMISE EN CAUSE !!!
LA SALETÉ DES OCÉANS : DÉFI MAJEUR VIS à VIS DU RÉCHAUFFEMENT GLOBAL… !§§§!
>>> Cela a du sens, car les échanges atmosphériques sont par essence maximum à ce niveau…, et l’on voit de moins en moins de nuages venir des côtes et des mers !!!
De plus, ma très bonne encyclopédie des sciences et techniques indique un ratio de 35 fois plus entre la capacité de L’EAU à absorber LA CHALEUR et… L’AIR SEC ! URGENCE : arrêter le pétrole et les plastiques, donc la surpopulation mondiale !§!
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Point de vue UMMITE sur une partie du réchauffement terrestre (en plus de l’excès de gaz à effet de serre) :
» La température du cœur de la Terre est influencée par trois facteurs principaux : 1. une pression interne élevée induisant une compression de la structure cristalline de fer. 2. les influences gravitationnelles de la Lune et du Soleil induisant de petites fluctuations cycliques à la frontière solide/liquide. 3. les interactions avec une quantité significative de neutrinos traversant le treillis cristallin du noyau interne. Les deux premiers facteurs maintiennent l’ensemble du noyau dans un état d’équilibre relativement stable avec des variations de seulement quelques dizaines de degrés (°K). Seuls les changements dans le flux solaire de neutrinos peuvent avoir une influence significative sur une plage de centaines de degrés. Même les neutrinos avec des niveaux d’énergie plus faibles sont capables d’interagir durant de leur traversée des couches denses de fer, et plus spécifiquement à l’intérieur du noyau interne où ils génèrent des isotopes instables, produisant des changements oscillatoires locaux dans la structure cristalline de fer, qui se propagent jusqu’à la frontière solide/liquide. Lors d’une augmentation des émissions de neutrinos solaires, la vitesse de ces oscillations augmente également, en développant ou en réduisant localement la structure cubique de fer à une vitesse plus élevée, induisant un réchauffement principalement par frottement et, dans une moindre mesure, par une augmentation de la radioactivité ambiante. L’augmentation de la chaleur interne est transmise très lentement jusqu’aux couches supérieures avec un retard d’environ 8 mois pour atteindre le Moho. Au contraire, lorsque l’activité solaire diminue, le noyau planétaire refroidi assez soudainement avec des réajustements endothermiques de la structure cubique. Les couches supérieures sont affectées progressivement par la même relative et soudaine baisse de température.
*** – Le réchauffement climatique, qui est une réalité, résulte principalement d’une réduction de la capacité des océans, réchauffés par les fonds marins et saturés de polymères organiques flottants et de résidus d’hydrocarbures, à récupérer la chaleur et le dioxyde de carbone de l’atmosphère. » < *
http://www.ummo-sciences.org/fr/index-ordo.htm