Le centre de recherche et télécommunication (CEET) de l’Université de Melbourne penche sur la question complexe des antennes-relais et leur besoin toujours plus grand en énergie. Une réponse pourrait bien avoir été trouvée.
Parer le besoin croissant d’énergie
Avec une croissance supérieure à 400 % dans les années à venir, les réseaux sans fil vont voir leur consommation augmenter très fortement. La pollution issue de cette boulimie de consommation énergétique serait équivalente à l’émission de CO2 émise par près de cinq millions d’automobiles. Le problème est donc face à nous et les chercheurs de l’Université de Melbourne ont peut-être trouvé une solution diablement efficace.
Il suffirait de passer d’un modèle qui privilégie les grandes antennes-relais relativement peu nombreuses à un système de petites antennes qui quadrillent le territoire. Ces dernières, certes plus nombreuses, seraient, in fine, beaucoup moins énergivores que dans le modèle qui prévaut aujourd’hui. Selon Rod Tucker, professeur à l’Université de Melbourne, l’amélioration d’un facteur 1000 de l’efficacité énergétique du réseau de téléphonie mobile est possible.
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