Lorsqu’un tireur d’élite a attaqué une sous-station électrique californienne en avril dernier, l’énergie ne s’est pas échappée. Mais après l’incident, la question de la sécurité du réseau électrique s’est faite plus vive. 

Le smart grids, une solution au problème

Connaître l’auteur des faits est primordial, néanmoins, des questions s’élèvent sur la façon d’équilibrer les investissements contre les attaques physiques et cybernétiques. Selon le magazine Foreign Policy, l’avocat américain Jon Wellinghoff avait noté que le récent focus sur la cyber sécurité avait éclipsé la nécessité de repenser la sécurité physique.

À ce titre, les smart grids pourraient être une solution au problème. Auparavant, les technologies d’exploitation de services publics (OT) ont largement été cloisonnées de la technologie de l’information (IT). Aujourd’hui, les investissements dans les smart grids émergent pour fusionner les OT et les IT. Par exemple, dans l’attaque Metcalf, les opérateurs de réseaux ont été capables de dévier l’énergie autour du site pour éviter les pannes.

Si plusieurs capteurs et réseaux de communications sont distribués à travers le réseau et si les sous-stations électriques s’automatisent plus, l’énergie peut être déviée systématiquement lorsqu’il y a un défaut de sorte à ce que moins de gens perdent de l’énergie.

 

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