Lancé à l'initiative de la Ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, le label French Tech encourage les régions à développer les nouvelles technologies, dont les smart grids. D'un point de vue plus global, la mise en place de cette récompense permet à la France d'afficher une position de leader sur la scène mondiale en matière d'avancées technologiques. À cette occasion, la Côte d'Azur a mis sur pied un dossier solide pour tenter de rafler le précieux sésame.

La région espère continuer son développement

Le territoire, qui possède la technopole la plus importante d'Europe (Sophia Antipolis), a connu un accroissement de 7 % en 2013 dans le secteur numérique. Ses cinq branches, qui sont l'e-santé, l'e-tourisme et la mobilité, l'e-learning, l'e-énergie et les smart grids ainsi que l'e-environnement, représentent désormais 4 milliards d'euros de chiffre d'affaires.

La région organise également un grand nombre de réunions pour les professionnels de ces secteurs, avec pas moins de quatre cents manifestations nationales et internationales et quarante événements locaux.

Une dynamique qui espère encore s'accroître si la région réussit à obtenir le label French Tech. Les élus locaux ont émis le souhait de miser sur les start-ups et leur créer un environnement favorable. Ces projets sont d'ailleurs détaillés dans le dossier de candidature French Tech Côte d'Azur.

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