En Afrique de l'Ouest, et plus particulièrement au Burkina Faso, la culture de la noix de cajou est un secteur dynamique. Les associations Rongead et Cefrepade ont décidé de lancer le projet Cajouvalor, qui consiste en la valorisation des déchets issus des cycles de productions de cette industrie.
Valoriser les déchets
Les deux associations sont parties du constat que la transformation locale de l'anacarde (la coquille de la noix de cajou) est confrontée à plusieurs défis, dont le coût de l’énergie pour lancer le processus de recyclage. Pour cette raison, le projet Cajouvalor propose une technologie de combustion par pyrolyse, ce qui permettra à moindre coût de transformer les déchets en énergie pour alimenter leurs activités.