Alors que la tentation d’utiliser les réserves de gaz de schiste est grande en Algérie puisque le pays possède les troisièmes réserves mondiales, les autorités sembleraient plutôt opter pour une consommation intelligente de l’énergie. 

 

Une utilisation optimale des ressources

Les données de l’EIA (U.S. Energy Information Administration), un organisme qui fait référence en matière d’énergie, sont apparemment flatteuses puisqu’elles évaluent les réserves de gaz de schiste techniquement récupérables à 707 Tcf. De plus, l’Algérie possède les 2/3 de l’aquifère du Sahara septentrional recélant environ 31 000 milliards de m3 d’eau qui s’étend sur plus d’un million de kilomètres carrés sous l’Algérie, la Tunisie et la Libye.

Afin d’exploiter ces ressources naturelles, l’Algérie devrait investir pas moins de 300 milliards de dollars dans les gaz de schiste. Un non-sens puisqu’un puits a une durée de vie de 5 ans avec un coût de démantèlement équivalent à celui de sa mise en place avec une catastrophe écologique au final.

Le choix des décideurs algériens s’est donc fixé sur une technologie nouvelle génération, les smart grids. Dans les plus brefs délais, les grandes villes devraient s’équiper de centrales solaires thermiques qui permettront de produire une électricité à flux régulé qui pourrait être optimisée compte tenu de l’utilisation généralisée des smart grids. Une consommation et une production intelligente, donc, qui témoignent d’un véritable progrès et d’une prise de conscience concernant l’avenir de la planète et des ressources naturelles.

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